Alors que la COP21 se termine par un accord international, Thierry Mandon salue « le travail extraordinaire des chercheurs qui ont marqué chacune des étapes conduisant à cet accord. »
« Un tournant dans notre histoire. » C’est ainsi que Thierry Mandon, secrétaire d’État chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, qualifie l’accord international qui conclut la COP21. Dans un communiqué de presse daté du 12 décembre, le secrétaire d’État a également salué « le travail extraordinaire des chercheurs qui ont marqué chacune des étapes conduisant à cet accord. » Pour lui, « l’enseignement supérieur et la recherche ont été au cœur de la COP21, ils sont la colonne vertébrale du changement à venir. »
Samedi soir, à l’issue de la COP21, 195 États de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) ont adopté l’Accord de Paris. Cet accord et les 1000 engagements pris par l’ensemble des acteurs (autorités locales et régionales, entreprises, institutions financières, ONG, jeunes…) constituent un socle tout à fait novateur pour faire face au changement climatique.
« Il ne s’agit pas seulement d’observer le changement climatique et ses conséquences. Il s’agit également d’élaborer des solutions afin de pouvoir nous adapter à ces transformations. […] Ces solutions nécessitent un effort de recherche, de développement technologique et d’adaptation des comportements humains. Un effort afin de former les générations du développement durable est également nécessaire, et les établissements d’enseignement supérieur ont commencé à y participer : il faut amplifier ces actions. »